Un nouveau regard
sur la 2nde Guerre Mondiale
Pour bien comprendre les extraits ci-dessous, voici :
> Un message qui date de 1917,
donné par la Vierge Marie à Fatima, lieu reconnu par l'Eglise Catholique.
Le 13 juillet 1917 : Notre Dame confia aux pastoureaux :
"Si l'on ne cesse d'offenser Dieu, sous le règne de Pie XI en commencera une autre pire.
Quand vous verrez une nuit éclairée par une lumière inconnue,
sachez que c'est le grand signe que Dieu vous donne,
qu'il va punir le monde de ses crimes par le moyen de la guerre,
de la famine, et des persécutions contre l'Eglise et le Saint-Père".
La nuit de lumière a été vue du 25 au 26 janvier 1938.
(Plus d'info sur https://www.fatima100.fr/lettres-de-liaison/103-le-signe-dans-le-ciel-de-la-nuit-du-25-au-26-janvier-1938)
Puis les évènements annoncés par la lumière advinrent après la fin du règne du Pape Pie XI.
Ceci confirme que les extraits ci-dessous avaient bien été annoncés en 1917.
> Par 3 fois, en 1939,
Jésus prédit à bienheureuse Alexandrina Maria da Costa
la guerre comme châtiment pour les grands péchés. (Source http://alexandrina.balasar.free.fr/)
Extraits tirés des messages de Notre Seigneur donnés à Jeannette :
"Ma fille, tu vois Mon Cœur, surmonté d'une croix,
couronné d'épines et percé par la lance. Ce Cœur veut chasser de la terre cette
immense souffrance pour faire affluer la grande joie de la paix. (...) La
France, Ma pauvre brebis égarée, Je veux te refaire plus belle.
Contemplez le Cœur Immaculé de Marie, Elle qui est la vraie Aurore, qui commence
le jour de la Grâce, le modèle de l'âme vibrante. Avec Amour, Nous vous
bénissons". (8/09/1944)
"Mes enfants, Je vois que vous êtes déçus parce que la France n'est pas délivrée. Le déluge de feu a beau fondre sur les villes et sur certains villages, les âmes, au lieu de venir chercher la paix, la consolation dans Mon Divin Cœur, se révoltent et beaucoup ne savent plus réciter le chapelet. Le Châtiment n'est pas terminé. Mon Bras ne peut plus s'arrêter. Mais pour vous, gardez toujours le sourire. Et confiance, Ma Divine Mère ne vous abandonnera pas". (9/09/1944)
"La souffrance n'est pas finie, car la Révolution et la Famine vont sévir sur les villes. Ce sera affreux. Votre petit village sera préservé; ne vous lassez pas de réciter le chapelet, car des milliers d'âmes tombent chaque jour en enfer" (14/09/1944)
"Vous êtes dans la joie de la délivrance, mais beaucoup d'âmes sont dans la
souffrance et les larmes. Je Me penche surtout sur ces familles où la mort a
fauché un ou plusieurs membres. Si tous ces foyers avaient récité le chapelet le
soir en famille et n'avaient pas travaillé le dimanche; si dans beaucoup de
paroisses cruellement éprouvées, les pasteurs avaient cru à la Mission et
avaient fait leur devoir, Je te le dis, ils auraient moins souffert.
Mon bras ne se relèvera plus. Le châtiment n'est que commencé. Sur le monde
révolté et qui ne veut pas revenir à la prière, Je ferai descendre la nuit et
l'épouvante". (16/09/1944)
"La guerre n'est pas finie; c'est une épreuve que Je vous envoie et Je constate
qu'il y a peu d'âmes courageuses et confiantes. Les heures sont graves".
(18/09/1944)
"Mes deux enfants, que la guerre est une chose affreuse et, pour purifier le
monde, il faudra Moi-même le châtier.
Réfugiez-vous dans Mon Divin Cœur, vous serez à l'abri de toute crainte".
(19/09/1944)
"Chantez votre reconnaissance à Saint-Michel. (...) C'est
le messager de Ma Divine Mère qui transmet les ordres à ta sœur, car elle est
mon soldat.
Tous les villages de Mes pasteurs sont sous sa protection.
Pendant les heures graves, sous le commandement de Sa Divine Maîtresse il a
écarté tous les périls et les dangers qui vous menaçaient.
Il est là qui vous sourit, infiniment heureux de voir un grand nombre de fidèles
venir le remercier. C'est lui qui sauvera la France. Beaucoup de villes ont
encore à expier. C'est pourquoi, la délivrance tarde. Mes enfants, priez, car
chaque jour, un grand nombre d'âmes tombent en enfer". (29/09/1944)
"Dis au pasteur que J'aime ce chapelet récité à toutes les heures. Qu'il le
continue. Hélas, beaucoup d'âmes le délaissent. Je te le dis, il faut prier. Tu
vois ces villes sous le bombardement de l'ennemi qui est furieux plus que
jamais. Le sang coule dans les rues. Les français contre français vont se tuer,
et les femmes seront encore plus terribles et plus traîtres." (...) "Je châtie les villes et certains villages par la peur, la souffrance et la
faim. Car, tu entends, Je suis irrité et Mon bras frappera, car dans les villes
délivrées, la jeunesse ne pense qu'à s'amuser. (Plus tristement) Pauvre
jeunesse, que tu me fais souffrir". (04/10/1944)
"Mes enfants, priez, égrenez vos Ave, chez vous, dans les
champs, mais n'abandonnez pas; car chaque jour ce sont des villages qui brûlent
et des foyers sans abris.
Pauvres malheureux, si vous aviez récité le chapelet, Je ne vous punirais pas".
(07/10/1944)
"Mon enfant, dis au pasteur de Domptail que tous ces Ave
qui montent continuellement vers Moi touchent Mon Cœur et Je répands sur chacune
de ses brebis des torrents de grâces. Plusieurs familles ont été touchées par le
feu, mais dans leur dépouillement, elles ont tout accepté et Je Me penche sur
elles pour leur apporter la consolation.
Combien de fois ai-Je répété à Mes deux pasteurs que Mon Manteau s'étendait sur
leurs villages. Je n'ai pas voulu écarter les obus parce qu'il fallait que
plusieurs familles expient, mais les épreuves seront bientôt terminées".
(25/10/1944)
"Mon enfant, tu vois Mon Cœur méconnu, rebuté, outragé et percé. Ces épines qui viennent faire une couronne ce sont ces âmes qui Me trahissent et combien, hélas, elles sont nombreuses. Je vous demande, ô Mes Pasteurs, de Me consoler toujours plus. Je ne puis vous faire sentir les souffrances que Je ressens ni la sueur de sang qui couvre Mon visage : "Mon Père, que ce calice s'éloigne de Moi. Mais non, que Votre volonté soit faite et non la Mienne". (20/12/1944)
"Je vous offre les prémices de Mon sang pour l'expiation
de vos péchés. Mon Nom est pour l'appui de votre espérance ; Mon Cœur est pour
embraser les vôtres du feu de la divine charité.
La France sera sauvée le jour où chacun redeviendra ce qu'il doit être dans sa
vie chrétienne et un peu austère.
Personne ne veut plus de la souffrance ; on ne court qu'après le plaisir. Ma
Pauvre France s'en va parce qu'elle ne veut plus du sacrifice. Faîtes des
sacrifices, le salut ne viendra que par là". (1/01/1945)
"Le châtiment que j'enverrai sera terrible et atteindra
beaucoup de foyers. Beaucoup n'ont pas encore souffert des malheurs de la
France. Beaucoup restent enfouis dans leur bien-être. Il faudra que Mes verges
divines réveillent ces endormis, ces jouisseurs qui font masse.
Ma France ne sera sauvée que par une régénération chrétienne. L'Eglise souffre,
la France souffre. Que les âmes qui aiment l'une et l'autre se résolvent à
souffrir. Priez beaucoup pour les persécutés du moment. La France s'en va parce
que la récrimination a pris la place de la volonté. Le salut ne viendra que par
le renoncement personnel qui attirera Ma grâce miséricordieuse. Les exilés ont
beau souffrir : ils ne sont qu'une partie du pays ; il faut que le pays tout
entier souffre". (9/01/1945)
Message de la Très Sainte Vierge :
« Mes enfants. Ne formez plus qu’une grande famille.
Fuyez les grandes villes, car l’ouragan, le feu, le tonnerre, vont fondre sur la
France, convertissez-vous, immolez-vous, car le bras de mon Fils va s’abattre
sur ma Pauvre France. Malgré mes supplications, Je ne puis le retenir. La
jeunesse – malheureuse jeunesse – va être engloutie dans les flammes. A vous tous
qui êtes là, priez, car parmi vous il y aura des âmes qui souffriront. Que celle
qui est choisie pour être victime se prépare à passer le grand tunnel. Je
souffre beaucoup et si Je me manifeste ce soir, c’est pour vous supplier de
PRIER. Vous ne saurez jamais combien Mon Cœur est percé et si mon Divin Fils
veut que J’apparaisse à certaines âmes, c’est pour supplier que la France
redevienne pieuse et plus unie à mon Divin Fils.
Je vous bénie tous. Priez ». (19/08/1945)
"Notre Saint Père le Pape habillé de blanc agenouillé sur un prie Dieu, le visage enfoui dans ses mains. Il n'avait rien sur la tête, mais il semblait affaissé, terrassé. La Très Sainte Vierge le regarda longuement, et je vis deux larmes à ses paupières. Le Saint Père resta dans cette pose, je ne vis pas sa figure, mais je sentais qu'il souffrait. La Très Sainte Vierge le bénit." (25/12/1945)